Mercredi 3 avril 2013 — Le Mans, amphithéâtre Robert-Garnier, université du Maine, de 18 h à 20 h
Le Mans Métropole — par la voix de Bernard Vétillard, vice-président de Le Mans Métropole chargé du développement durable, élu référent du Pays du Mans pour le plan Climat-Énergie territorial et le Pays du Mans, coorganisaient « Les semaines du développement durable 2013 », du 23 mars au 14 avril. Trois semaines visant à donner des « clés pour agir » pour des modes de vie plus économes en énergie et participer aux côtés des collectivités locales à réduire nos émissions de gaz à effet de serre et modérer les factures d’énergie.
Dans ce cadre, une conférence-débat sur le thème « Risques climatiques : il est temps de réagir » était coorganisé par la MAIF et le soutien de l’université du Maine, avec Denis Cheissoux (animateur de CO2 mon amour sur France Inter) et Frédéric Dehnez (écrivain, journaliste scientifique et ingénieur en environnement).
Un amphi quasiment plein pour écouter l’animateur — dont on aime les décapants éditos — qui va énumérer avec Frédéric Dehnez les nombreux périls pour notre planète, tout en délivrant un véritable message d’espoir pour les générations à venir et en les encourageant à faire bouger les lignes. Le nucléaire y a bien sûr une courte place — insuffisante à notre goût — sans doute pour ménager un des producteurs du film Le défi pour la terre (15 mn) de la fondation Nicolas-Hulot, soutenue par les deux bretteurs, fondation elle-même sponsorisée par EDF. Acrimed (observatoire des médias, Action-CRItique-MEDias) qualifierait de « ménages » plusieurs références inutiles à la coorganisatrice : la MAIF, qui sera elle aussi interpellée pour assurer invariablement voitures essence et diesel, diesel pourtant grand émetteur de particules fines.
La conférence était suivie d’un débat avec la salle en présence des élus de Le Mans Métropole et du Pays du Mans.
Cette conférence était plutôt en avance sur lesdites Semaines du développement durables, dont le programme est là : ▶.
Photo et ou illusrtation : sans pour l’instant.