Samedi 17 janvier 2015, de 14 h à 18 h — Saint-Lô (Manche)
Pas moins d’une cinquantaine de participants à cette assemblée des groupes antinucléaires du Grand-Ouest. Présents : quinze oraganisations dédiées, des structures politiques, et bien sûr, des individuels (essentiellement de la région). Nous y avions un représentant.
Cette rencontre avait comme objectif de créer les conditions d’un grand événement antinucléaire, en 2016, dans la pointe du Cotentin, s’appuyant sur la puissance militante de l’Ouest élargi. La date — probable — sera le 1er octobre 2016. Son mot d’ordre : « Arrêt du nucléaire, énergie de destruction massive. Non au rafistolage des vieux réacteurs, non à la mise en marche de l’EPR ».
Bref déroulé de la journée : rassemblement sur un terrain de Flamanville (avec colloques [1], animations, spectacles, etc.), marche sur le CNPE, Centre nucléaire de production d’électricité (EPR), partie festive en soirée. L’assemblée s’est constituée en CAN-Ouest, Collectif antinucléaire de l’ouest, rassemblant des associations et des particuliers de l’ouest de la France (Bretagne, Pays de la Loire et Normandie). Elle a aussi désigné une équipe d’animation, défini un fonctionnement, une structure et des moyens.
Voilà pour les grande lignes. Vous comprendrez aisément que nous n’allons pas plus loin dans les détails (qui pourtant existent) pour une manifestation programmée dans vingt mois…
Par ailleurs, les personnes intéressées peuvent consulter le site spécifique à cette manifestation : http://www.can-ouest.org ou en cliquant directement ici : ▶.
[1] Dans la mesure du possible, les thèmes de ces colloques seront repris dans tout l’Ouest avec l’objectif de mobiliser le plus grand nombre de gens le 1er octobre 2015.
Illustration : visuel et pré-affiche du CAN-Ouest.