Samedi 3 octobre 2015, de 14 h à 18 h — La Flèche
Cette rencontre régionale avait pour premier objet de réfléchir à l’opportunité d’une organisation territoriale des groupes opposés à l’atome et à sa structuration. En seconde intention (le plus gros morceau), de débattre sur la refondation du Réseau SDN et du mouvement antinucléaire.
C’était la première rencontre d’une éventuelle structuration antinucléaire régionale sur un périmètre et des lignes directrices restant à définir en fonction des affinités, forces, moyens et disponibilités des groupes qui voudront s’y associer. Disons que son périmètre couvrirait le bassin de la Loire et de ses affluents (élargissant le bassin ligérien au nord et au sud) et couvrir le chapelet des quatorze réacteurs en fonctionnement (plus cinq en démantèlement et plusieurs petites installations nucléaires de base [INB]) qui jalonnent son cours. De « La Loire à vélo » à « La Loire (nucléaire) à vau-l’eau » !
Outre cette possibilité de structuration territoriale, l’objectif était aussi de débattre des textes servant de base aux discussions pour le congrès de Sortir du nucléaire (en refondation) et du mouvement antinucléaire, publiés dans Atomes crochus n° 3 et qui peuvent aussi se mener sur les listes de discussion du site du Réseau Sortir du nucléaire. La tambouille interne suppose une inscription préalable. Pour l’inscription et le forum, c’est là : ?). Ce congrès se tiendra à Angers (49), du 12 au 14 février 2016 (1).
Cette coordination ligérienne en devenir se réunira à nouveau le 9 janvier 2016, en matinée, à Angers. D’ici là, chacun (groupes comme individus) contactera les groupes en sommeil se trouvant sur ce large périmètre.
Alternatiba, La Flèche
Ce samedi 3 octobre, de 10 heures à 18 heures, c’était aussi le tour de La Flèche de faire son « Alternatiba » (pour Le Mans, quinze jours auparavant, c’est là : ?) , rue du Champ-Baudry (près de Monde Solidaire, voir notre article sur cette association fléchoise ici : ?). Au programme : rencontre autour des pratiques alternatives (écologie, culture, alimentation, santé, économie, etc.).
(1) La décision de tenir ce congrès a été prise à l’AG des 31 janvier et 1er février 2015 à Dijon, afin de remédier à la crise ouverte en 2010 et de donner suite au chantier de refondation qui en a découlé.
Cette décision a été actée par trois motions de refondation : « Réhabilitation et sortie de crise », « Régionalisation, décentralisation » et « Pour un congrès du Réseau Sortir du nucléaire ».
Vous pouvez vous reporter au compte rendu de synthèse de l’AG 2015 pour consulter les décisions des groupes. Les documents préparatoires, les relevés de décisions et la retranscription intégrale des échanges sont publiés sur le site, ici : ?.
Photo et/ou illustration : sans, pour l’instant !