Années 2010 — trois sarthois au palais du Luxembourg
Tout est dit, ou presque, dans cette proposition de résolution enregistrée à la présidence du Sénat, le 15 décembre 2011, relative à la filière industrielle nucléaire française… C’était avant Fukushima mais les convictions irresponsables de ces types sont inébranlables. C’est là : ▶ http://www.senat.fr/leg/ppr11-202.html.
Mention très spéciale pour Marcel-Pierre Cléach, outre qu’il est sénateur UMP nucléairocrate (excusez le pléonasme), il cumule la fonction de « membre du comité d’orientation des recherches de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire ». Nous lui consacrons un article spécifique, c’est bien le moins, et c’est là : ▶.
Mais, depuis le 25 septembre 2011, la majorité du Sénat a viré à gauche, et aux élections législatives (10 et 17 juin 2012), le Parlement itou ! Le 11… septembre 2013, la conclusion de l’Office parlementaire d’évaluation scientifique et technologique (OPECST) a adopté par 5 voix contre 2 son rapport sur la transition énergétique qui propose déjà de différer la diminution de 75 à 50 % de la part d’électricité nucléaire à l’horizon 2025 (engagement de F. Hollande candidat à la présidentielle de 2012) à… 2050. Seulement deux écologistes on voté contre.
Photo et/ou illustration : sans pour l’instant.