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Festival : Avant qu’ça pète ! n° 3, le 14 avril à Montflours
14 avril 2018
Samedi 14 avril 2018 — de 11 à pas d’heure — à Montflours (Mayenne)
Le groupe Sortir du Nucléaire 53 et la BAM (Brasserie Associative de Montflours) vous invite à un évènement antinucléaire : le « Festival avant qu’ça pète », n°3 de la série le samedi 14 avril à partir de 11 h et toute la journée.
Çà se passe à la ferme de la Goronnière, au GAEC « Les radis & co », à Montflours en Mayenne.
Montflours et la ferme de la Goronnière (lieu des d-ébats et festivités) est située à mi-hauteur d’une diagonale Mayenne-Laval, du coup, nous somme au-delà de notre périmètre Sarthe et Maine, mais nous tenons néanmoins à vous proposer ce rendez-vous de nos voisins mayennais. Des sarthois·es, étaient déjà de la précédante édition et leurs retours en disent le meilleur… Distances : du Mans 72 km à vol d’oiseau, 86 environ par la route, 52 km de Sillé-le-Guillaume.
Programme
11 H 00 — Table ronde – Nucléaire : Perspectives et lutte en Mayenne /animée par Michel Perrier.
Pique nique sorti du sac. (buvette sur place)
14 H 30 — Conférence – Yannick Rousselet [1] (Greenpeace) : Etat du nucléaire en France ;
16 H 30 — Conférence – militants Bure-CIGEO : Enfouissement : Enjeux et Risques.
Entrée : prix libre, stands, animations, buvette sur place, possibilité de camping Restauration le soir.
20 H 00 — Bretelle et Garance (chansons à voir) ;
21 H 00 — Vistina Orchestra (musique Klezmer et swing Manouche) ;
22 H 00 — La Boétie (rock) ;
23H 00 — Le quintet sans tête (bal folk) ;
00 H 00 — Vapeurs à turbines (textes scandés).
Contacts : sdn53@laposte.net L’équipe locale cherche quelques bénévoles pour la préparation du festival les jours précédents et le jour du festival, pour donner un coup de main appeler Bibi au : 06 20 83 73 68.
[1] Yannick Rousselet est sous le coup d’une condamnation à deux mois de prison ferme suite à l’intrusion et le déclenchement d’un feu d’artifice au pied de la piscine d’entreposage du combustible usé de huit militant-e-s et d’un salarié (Yannick) de Greenpeace France dans la centrale nucléaire de Cattenom (Moselle) le 12 octobre 2017. Le jugement prononcé par le tribunal de grande instance de Thionville a condamné six des huit militants de Greenpeace à cinq mois de prison avec sursis et deux autres (dont Yannick) à deux mois fermes au motif qu’ils auraient agi en récidive. L’ONG à fait appel de cette première sanction de prison ferme dans l’histoire de Greenpeace France. Une sanction démesurée et totalement inopportune pour un lanceur d’alerte !
Visuel : affiche BAM & SdN 53.